25 juil. 2013

Je préfère écrire ces nuits qui nous abandonnent au bord de la fenêtre.
La respiration de l'été sous ce doux vent de fin de journée. La lune approche, celle avec laquelle la femme ne vit que pleinement, entière, fidèle à toutes ses faces.

Observons.

Rien n'est plus réel que l'instant vécu avec sagesse. Celui que l'on regarde avec l'œil présent et lointain. Il nous berce, cet instant sur lequel nous nous recueillons.


Ainsi, l'été.