Je sens l'été s'approcher, l'odeur du thé blanc qui me porte jusqu'à la mer ;
le silence,
et j'entends les battements de mon cœur comme des bruits de pas,
pieds nus sur le carrelage,
semblant explorer la fraîcheur du soir, pour moi, pour tes yeux noirs.
Mes pensées sont assassines, délicieusement enfantines,
je sens un renouveau,
un renard qui repasse par ici,
qui ne passera pas par là
Un deux trois
A moi,
mon ami,
pour la vie.
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