Je me souviens du goût de la soie, la finesse des jours. Il faisait un calme plat, et les arbres murmuraient des prières.
Un nouveau souffle re-luit dans ma gorge, comme l'aube d'une journée d'automne, où tout meurt et tout ré-apparaît.
L'air est apaisant, il emporte avec lui l'essence des souvenirs, et les oiseaux tracent à nouveau leur chemin - l'aventure d'un périple déjà connu, mais non sans l'âme vagabonde -
Rien n'est achevé.
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