1 janv. 2018

Ta joue contre ma joue,
Nos corps qui s'enchaînent, 
Ô doux paradis d'Eden 
Au souffle coupé
Là où germe la graine. 

Ta parole contre la mienne,
Mes souhaits apaisés, 
Par delà les montagnes des fées, 
Tu es mon Royaume de paix. 

Ma bouche traverse ton corps
Là où les sorts son jetés
Rien n'est aussi doux que ta peau abîmée. 

Oh que je t'aime, mon prince de la nuit,
Tu es mon havre et ma lumière, 
Ma sentence et ma prière,
Je te voue ce poème afin que les cieux le lisent 
Et t'accordent à jamais l'éternel Ether.

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