8 nov. 2013

Ah mon chat
je te vois errant,
rien à prouver ;

Je vois l'ombre de ta queue
noyée dans le noir des cieux

Ta silhouette vacillante et ta rage aimante

celle que j'aspire les soirs où tu glisses tes pensées sous mes vêtements,
partout sur mon corps des questions trouvent leurs réponses
et tu reprends mes rêves inachevés,
ceux que je laissais sur l'oreiller
quand tu ne faisais que passer.


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