8 déc. 2013

Carnet noir

Les baisers à l'envers

ce qui ne dure pas mais succombe, ces petits bruits de cœur accrochés à nos épaules ;

Toi,

qui me regarde comme si un nouveau jour venait d’apparaître, toi, qui ne cesse de m'aimer en dépit de mes défauts, je te prends comme je prends la vague en plein raz de marée,
je prends tout de toi
je ne laisse rien de ce qui ne va pas.

Je fais comme je l'entends, à savoir ces musiques que tu me joues le jour, et ces souffles que tu me rends la nuit.












(c) Helley 

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